Je refuse de mettre des pneus hiver car :
– C’est ma voiture, mon choix, ma liberté ;
– L’efficacité des pneus hiver n’est pas prouvée, si ce n’est par des études réalisées par les fabricants (tu m’étonnes) ;
– Ma voisine Fernande a eu un accident après avoir mis ses pneus hiver ;
– Certains en sont déjà à leur 3e jeu de pneus, ça prouve bien leur inefficacité.
– On ne sait pas avec quoi ils sont fabriqués ;
– Les géants du pneu nous font peur avec l’hiver juste pour s’enrichir ;
– D’ailleurs, ce sont les géants du pneu qui ont inventé la neige et qui l’épandent la nuit quand vous dormez ;
– Si j’ai des pneus, le gouvernement peut me suivre à la trace dans la neige.
Renseignez-vous, ouvrez les yeux, cessez d’être des moutons !
Cette année, les pneus hiver, je dis non !
Catégorie : bêtise humaine
Mon bonhomme de neige victime à son tour de la loi du genre ?
Préparons l’hiver !
Il faut savoir prendre la neige du bon côté, avec Jacques Prévert : « Avec une pipe en bois galope le grand bonhomme de neige […] Poursuivi par le froid il arrive au village…, le voilà rassuré. »
Pas si rassuré que ça, ce matin, mon bonhomme de neige… Alors que j’allais sacrifier à mon tour à cette tradition des matins de neige, voilà qu’un ami me met en garde sur Facebook contre les réactions et commentaires auxquels je m’expose – et qu’il vient lui-même d’essuyer avec son bonhomme de neige. Voilà son témoignage, je vous laisse juge…
« Il neige… Il a neigé toute la nuit. Ce matin je décide de faire un bonhomme de neige sur le trottoir devant ma maison !
9 h 00, mon bonhomme de neige est terminé. Il a fière allure.
9 h 05 : une féministe passe et me demande pourquoi je n’ai pas fait une bonne femme de neige ! Bon !
Je fais donc aussi une bonne femme de neige !
9 h 10 : la femme de ménage du voisin est scandaliseé et me traite d’obsédé sexuel, parce que je lui ai fait des seins trop volumineux !
9 h 15 : au nom de la loi sur l’interdiction de fumer et la lutte contre le tabagisme, un passant me reproche d’avoir mis une pipe dans la bouche de mon bonhomme de neige. C’est un très mauvais exemple pour les jeunes.
9 h 20 : un couple gay me fait remarquer que j’aurais pu faire deux bonhommes de neige !
9 h 25 : une végétarienne me reproche d’avoir utilisé une carotte pour faire le nez de mon bonhomme ! On ne gaspille pas la nourriture.
9 h 30 : deux lesbiennes du quartier me demandent pourquoi je n’ai pas fait deux bonnes femmes de neige !
9 h 35 : voilà que l’on me traite de raciste parce que mon bonhomme et ma bonne femme sont blancs !
9 h 40 : des islamistes exigent que je mette un voile à la bonne femme de neige.
9 h 50 : un gauchiste me reproche d’avoir mis un chapeau haut-de-forme sur la tête du bonhomme ! Le chapeau haut-de-forme est le symbole de l’aristocratie et du capitalisme !
9 h 55 : un groupe de gilets jaunes veut que je lui mette un gilet jaune. De peur qu’ils cassent tout, je cherche le gilet jaune dans ma voiture et le lui enfile.
10 h 00 : des collégiens de passage essaient de mettre le feu à mon bonhomme avec leurs briquets : ils ne savent pas que la neige ne brûle pas ! »
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Auteur : José Meidinger 18 janvier 2021
Les régimes politiques
Expliqué avec des vaches, c’est tout de suite plus simple!
SOCIALISME : Vous avez 2 vaches. Vos voisins vous aident à vous en occuper et vous partagez le lait.
COMMUNISME : Vous avez 2 vaches. Le gouvernement vous prend les deux et vous fournit en lait.
FASCISME : Vous avez 2 vaches. Le gouvernement vous prend les deux et vous vend le lait.
NAZISME : Vous avez 2 vaches. Le gouvernement vous prend la vache blonde et abat la brune.
DICTATURE : Vous avez 2 vaches. Les miliciens les confisquent et vous fusillent.
FEODALITE : Vous avez 2 vaches. Le seigneur s’arroge la moitié du lait.
DEMOCRATIE : Vous avez 2 vaches. Un vote décide à qui appartient le lait.
DEMOCRATIE REPRESENTATIVE : Vous avez 2 vaches. Une élection désigne celui qui décidera à qui appartient le lait.
DEMOCRATIE DE SINGAPOUR : Vous avez 2 vaches. Vous écopez d’une amende pour détention de bétail en appartement.
ANARCHIE : Vous avez 2 vaches. Vous les laissez se traire en autogestion.
CAPITALISME : Vous avez 2 vaches. Vous en vendez une, et vous achetez un taureau pour faire des petits.
CAPITALISME DE HONG KONG : Vous avez 2 vaches. Vous en vendez 3 à votre société cotée en bourse en utilisant des lettres de créance ouvertes par votre beau-frère auprès de votre banque. Puis vous faites un « échange de lettres contre participation », assorti d’une offre publique, et vous récupérez 4 vaches dans l’opération tout en bénéficiant d’un abattement fiscal pour l’entretien de 5 vaches. Les droits sur le lait de 6 vaches sont alors transférés par un intermédiaire panaméen sur le compte d’une société des îles Caïman, détenu clandestinement par un actionnaire qui revend à votre société cotée les droits sur le lait de 7 vaches. Au rapport de ladite société figurent 8 ruminants, avec option d’achat sur une bête supplémentaire. Entre temps vous abattez les 2 vaches parce que leur horoscope est défavorable.
CAPITALISME SAUVAGE : Vous avez 2 vaches. Vous vendez l’une, vous forcez l’autre à produire comme quatre, et vous licenciez l’ouvrier qui s’en occupait en l’accusant d’être inutile.
BUREAUCRATIE : Vous avez 2 vaches. Le gouvernement publie des règles d’hygiène qui vous invitent à en abattre une. Après quoi il vous fait déclarer la quantité de lait que vous avez pu traire de l’autre, il vous achète le lait et il le jette. Enfin, il vous fait remplir des formulaires
pour déclarer la vache manquante.
ECOLOGIE : Vous avez 2 vaches. Vous gardez le lait et le gouvernement vous achète la bouse.
FEMINISME : Vous avez 2 vaches. Le gouvernement vous inflige une amende pour discrimination. Vous échangez une de vos vaches pour un taureau que vous trayez aussi.
SURREALISME : Vous avez 2 vaches. Le gouvernement exige que vous leur donniez des leçons d’harmonica.
REGIME SUISSE : Vous colorez vos vaches en violet pour faire du chocolat au lait Milka…
CAPITALISME EUROPEEN : On vous subventionne la première année pour acheter une 3ème vache . On fixe les quotas la deuxième année et vous payez une amende pour surproduction. On vous donne une prime la troisième année pour abattre la 3ème vache.
MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE BRITANNIQUE : Vous tuez une des vaches pour la donner à manger à l’autre. La vache vivante devient folle. L’Europe vous subventionne pour l’abattre. Vous la donnez à manger à vos moutons.
CAPITALISME A LA FRANÇAISE : Pour financer la retraite de vos vaches, le gouvernement décide de lever un nouvel impôt : la CSSANAB (cotisation sociale de solidarité avec nos amies les bêtes). Deux ans après, comme la France a récupéré une partie du cheptel britannique, le système est déficitaire. Pour financer le déficit on lève un nouvel impôt sur la production de lait : le RAB (Remboursement de l’Ardoise Bovine). Les vaches se mettent en grève. Il n’y a plus de lait. Les Français sont dans la rue : « DU LAIT, ON VEUT DU LAIT ». La France construit un lactoduc sous la manche pour s’approvisionner auprès des Anglais. L’Europe déclare le lait anglais impropre à la consommation. On lève un nouvel impôt pour l’entretien du lactoduc devenu inutile : le IDLQV (l’Impôt Du Lactoduc Qu’est Vide) etc., etc.
REGIME CORSE : Vous avez deux cochons qui courent dans la forêt. Vous déclarez 20 vaches et vous touchez les subventions européennes.
VOIR d’autres variantes sur Wikipedia !
Si vous cherchez un pays pour l’asile politique…
Refus d’allumer ses phares de voiture et refus du vaccin anti-covid-19
Traduction rapide :
Je n’allume pas mes phares parce que
1. Je ne suis pas un mouton
2. Je refuse de vivre dans la peur
3. Je vois très bien
4. Je respecte votre choix d’utiliser vos phares, donc respectez mon choix de ne pas le faire
5. Si les autres conducteurs ne me voient pas, c’est leur problème
6. C’est peut-être une loi mais elle est injuste et enfreint mes droits constitutionnels
7. J’ai un certificat médical d’exemption et vous n’êtes pas autorisé à me questionner à ce sujet
8. Je suis membre du comité de la liberté de conduire dans le noir
Toute ressemblance avec ce que disent les antivax serait purement fortuite.
Ni vaccin ni parachute ?
Certaines personnes ne veulent ni vaccin ni parachute !
Test de culture générale pour devenir Miss France 2013
Ce quiz a été publié dans le journal Sud-Ouest ici :
À la fin de l’article 2 questions vous sont posées.
Comment jugez-vous ce questionnaire ?
A combien de questions auriez-vous su répondre ?
Enfin, on vous donne les réponses.
Cliquez sur ce lien pour consulter les réponses.
On appréciera ce qu’est la « culture générale » pour les organisateurs.
la « culture générale », qu’est-ce que c’est au fond?
Wikipédia écrit :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Culture_générale
La culture générale désigne les connaissances en tout genre d’un individu, sans spécialisation. Elle fait partie du projet humaniste, trouvant ses origines dans la paideia grecque, traduite par Cicéron sous le terme d’humanitas, puis se mêlant lors de la Renaissance aux arts libéraux, par exemple chez Pic de la Mirandole. Le projet d’une culture générale est intrinsèquement lié à des réflexions à propos de l’humanité, qu’elle soit conçue comme nature humaine ou encore comme dépassement de la nature par la culture (ou « seconde nature »). Durant l’Age Classique, elle forme l’idéal de l’« honnête homme ». La problématique de la culture générale est au cÅ“ur de ce que l’on a pu appeler la « crise de l’éducation » (Hannah Arendt – « La crise de la culture »).
Séparer le rentable du non-rentable : la maladie du siècle
« JAL – Les créanciers veulent séparer le rentable du reste. » (Journal Nikkei, Japon)
Voilà bien une des maladies du siècle : vouloir « à tout prix » séparer le rentable du non-rentable.
On nous parle en France de « lignes rentables » et de « lignes non-rentables » aussi bien à la SNCF que pour des compagnies aériennes.
Même si la logique économique correspond à quelque chose de bien réel -la nécessité pour une entreprise d’être viable financièrement, et qui peut certainement sembler nécessaire en ne considérant que la partie d’un problème, je crois que cela relève de ce que l’on appelle communément « ne pas voir plus loin que le bout de son nez ».
Car « non-rentable » à court terme pour une entreprise ne signifie pas pour autant que le maintien d’une activité n’apportera pas un minimum de richesses -au sens le plus large possible de ce mot- à une communauté, une ville, une région, un pays.
Dans le Sud-Ouest, par exemple, il existait autrefois une ligne de chemin de fer allant de Bordeaux à Mont-de-Marsan en passant par Labrit (un tracé différent de l’actuel). Elle a été supprimée vers la fin des années 50 ou au début des années 60 parce que non-rentable. En remplacement, on a mis une ligne de cars -privée- qui, elle aussi a été supprimée plus tard, car car non-rentable.
Résultat, de nombreux villages des Landes comme Labrit, et bien d’autres situés sur la ligne et alentours, n’ayant aucun moyen de transport en commun à leur disposition et une économie locale n’ayant pas de circulation stable, comme un poumon ou un membre n’ayant plus de « circulation ».
Mais est-ce qu’on ampute un membre n’ayant qu’une faible circulation? Non! Car on considère l’ensemble du corps, du système et qu’il y a une solidarité entre les membres.
En poussant la logique économique à son extrême, on doit normalement supprimer des tronçons de ligne. C’est d’ailleurs déjà fait en de nombreux endroits. Mais ce phénomène pourrait s’accentuer à l’extrême! On verra bientôt peut-être un Paris-Montpellier morcelé en tronçons « train rentable » et en d’autres qu’il faudra faire à pied, ses valises à la main…
J’ai un petit exemple où l’on n’a pas supprimé du soi-disant « non-rentable » et où ça continue à bien fonctionner, et même, ça fonctionne mieux.
Le Centre Culturel rattaché à mon université, à Matsudo (Japon), dispense des cours pour le grand public. Il y a quelques années, j’ai fait développer le nombre de cours de français afin d’en élargir l’offre. Ceci a permis de passer d’un seul cours avec 30 personnes (et une dizaine en liste d’attente!) à 6 ou 7 cours de niveaux variés permettant de mieux répondre à la demande du public. Dans le même temps, j’ai négocié directement avec le directeur du Centre Culturel, sur la base d’une forte demande des élèves, afin de limiter le nombre d’élèves à 25 par cours (depuis quelques années, ramené à 18 ou 20).
Nous avons ainsi pu avoir des cours comprenant entre 10 et 25 élèves, apportant un niveau de satisfaction élevé des utilisateurs si l’on en juge par les résultats des enquêtes réalisées après chaque session de formation de 3 mois. Et, rien que pour le français et ses disciplines connexes, nous avons eu jusqu’à 89 clients pour un seul trimestre.
Parfois, il a été question de supprimer des cours ayant moins de 10 élèves inscrits. J’ai alors demandé aux responsables de considérer la rentabilité pour l’ensemble des cours de français sur une année et de conserver les cours qui leur semblaient moins rentables -ou non-rentables- car, selon moi, ils présentaient au moins 2 avantages:
– leurs étudiants sont des étudiants potentiels pour d’autres cours ;
– conserver un cours permet d’apporter une satisfaction aux élèves qui en bénéficient (ne serait que par la continuité du service!) qui rejaillit positivement sur l’ensemble du système.
Cette argumentation a été entendue et certains cours ont vu leur nombre d’élèves descendre à 4 pour certains trimestres!
Le temps me manque pour apporter une conclusion mais je crois que ces modestes exemples sont assez éloquents et montrent bien qu’il ne faut pas aborder les problèmes en les coupant de leur environnement. C’est, du reste, une question de simple bon sens.