Nuit et Brouillard aux bords de la Garonne, Des flics sous l’occupation, récit sur fond d’extorsions et persécutions

Nuit et Brouillard aux bords de la Garonne paraîtra prochainement chez L’Harmattan.

Des flics sous l’occupation, récit sur fond d’extorsions et persécutions. Il grouille de meurtres, chantages, tortures, arnaques aux faux policiers. Ripoux, collabos épurateurs, policiers résistants, dont l’un s’infiltre même dans la Gestapo : si c’était un polar, on trouverait les personnages exagérés. Sauf qu’aucun n’est inventé. Ni les héros discrets qui ont résisté, ni les tortionnaires qui se faisaient passer pour des anges.

Mon grand-père était policier à Bordeaux entre 1940 et 1947. Ça voulait dire quoi au juste ?

Je me suis glissé dans la peau du flic : j’ai cuisiné témoins et suspects, ils se sont mis à table. Je les ai confrontés, j’ai reconstitué la scène de crime, exhumé des milliers d’archives de l’épuration. C’est la chair de ce récit. Dans les commissariats se côtoyaient flics collaborateurs, truands, résistants, sous l’œil impitoyable des SS, dans des locaux piégeux où une mine pouvait sauter sous leurs pas à tout instant.

Les flics résistants ont saboté des milliers d’enquêtes qui visaient les pourchassés de Vichy. Beaucoup l’ont payé de leur vie, devenant eux-mêmes Nuit et Brouillard, disparus dans la nuit des camps.

Que faire quand tout est bouché, que l’espoir semble vain ? La question redevient d’actualité. Chacun à sa façon, ils y ont répondu.

Auteur : Pierre Bouthier

Droits d’auteurs : Pierre Bouthier, éditions L’Harmattan

Non, je ne sais pas ce qu’il y a dans ce vaccin

Oui, je suis vacciné. Et, non, je ne sais pas ce qu’il y a dans ce vaccin. Ni dans celui-ci, ni dans ceux que j’ai eu enfant. Je ne sais pas non plus ce qu’il y a dans beaucoup d’autres traitements, que ce soit pour le cancer, le sida, la polyarthrite, etc. Je ne sais pas non plus ce qu’il y a dans l’Ibuprofène ou d’autres médicaments vendus en vente libre. Je les utilise parce qu’ils guérissent mes maux de tête et mes douleurs. Je ne sais pas ce qu’il y a dans l’encre pour les tatouages, les vapes, les hot-dogs, la fricadelle, le coca ou encore le chocolat. Je ne sais pas non plus quels sont tous les ingrédients utilisés dans mon savon, shampooing ou parfum . Je ne sais pas quel sera l’effet à long terme de l’utilisation du téléphone portable sur ma santé et celle de mes enfants. Comment puis-je savoir si ce restaurant où je viens de manger a VRAIMENT utilisé des aliments propres et frais et si le personnel s’est bien lavé les mains ? Bref, il y a beaucoup de choses que je ne connais pas et que je ne connaitrai jamais.
Je sais juste une chose : la vie est courte, très courte, trop courte et je veux pouvoir faire autre chose que d’aller travailler tous les jours ou de rester enfermé chez moi. Je veux pouvoir voyager et embrasser les gens sans crainte et retrouver un petit sentiment de vie comme avant.
Enfant et adulte, j’ai été vaccinée contre les oreillons, la rougeole, la rubéole, la polio, le tétanos et pas mal d’autres maladies. Mes parents et moi avons fait confiance à la science et nous n’avons jamais eu à en souffrir ou à transmettre l’une de ces maladies susmentionnées.
C’est pourquoi j’ai fait confiance à mon médecin quand il a dit que la vaccination était nécessaire. Je suis vaccinée, non pour plaire au gouvernement et non je ne suis pas un « mouton » mais je me suis bien fait vacciner pour :

  • ne pas mourir du Covid,
  • ne pas encombrer un lit d’hôpital si je tombe malade,
  • embrasser mes proches,
  • ne pas avoir à faire de test PCR ou antigénique pour sortir danser, aller au restaurant, partir en vacances et bien d’autres choses à venir,
  • vivre ma vie,
  • que Covid-19 soit un vieux souvenir,
  • me protéger, NOUS protéger.
    Prenez conscience qu’il y a plus de danger à manger certaines choses que de faire un vaccin contre un virus MORTEL mondial.
    Chacun fait ses choix.
    Ce texte est copié et vous pouvez en faire autant. Qu’on se le dise !Z

    PS : Sans compter les vaccins OBLIGATOIRES pour aller en vacances dans certaines contrées du monde, et là pas de problème les incrédules les feront sans rechigner !!

Énantiosèmes : mots ayant des sens contraires

Source : https://abcdufrancais.com/2021/11/08/mots-ayant-des-sens-contraires-enantiosemes/
Ce blog en lien est passionnant !
L’énantiosémie désigne des mots ayant différents sens dont au moins deux des sens sont des antonymes (et souvent des symétriques d’où le choix du terme enantio-). Elle serait propre aux langues anciennes et moins présente dans les langues modernes, s’expliquant par l’incapacité des hommes primitifs à penser un concept sans y associer son contraire.En 1910, Freud établit un parallèle entre l’énantiosémie et le langage des rêves, les psychanalystes pouvant interpréter un rêve en donnant à l’un de ses objets son sens contraire. L’ambivalence psychique, ou coprésence de tendances ou de désirs opposés, se reflèterait dans la langue par l’énantiosémie (coprésence des contraires). L’apprentissage du langage s’opère au moment de l’ambivalence entre fusion et séparation d’avec la mère et la langue en porte la marque profonde. Le désir est ambivalent et la sublimation s’effectue sur le mode ambivalent. L’énantiosémie de la langue s’avance masquée, comme l’Inconscient, mais reste sous-jacente dans le lexique, la syntaxe et la sémantique (dans le domaine de la négation, la prosodie, la phonologie et les figures de style). Elle est liée à la plasticité de la langue signifiant à la fois une chose et son inverse. Enfin, elle est au fondement de la pensée et de l’imaginaire. La poésie la magnifie dans l’harmonie des contraires.

La Grue de Langues O’

La grue de Langues O’ et ses symboles :

  • la grue, symbole d’immortalité dans la Chine ancienne ;
  • le serpent, symbole du temps dans la civilisation africaine ;
  • le croissant de lune fait référence à la civilisation arabe ;
  • la palme tenue dans le bec de la grue est symbole de victoire dans la civilisation gréco-romaine.
    Les anciens élèves de l’INALCO ont désormais leur site. Inscrivez-vous, c’est gratuit et vous retrouverez votre cursus et vos diplômes en ligne. Un énorme travail de numérisation des données a été effectué !
    C’est ici : https://alumni.inalco.fr/

Origine du nom de famille « Bouthier »

Étymologie

Boutherin : Porté notamment dans le Doubs, c’est un diminutif de Bouther, nom de personne d’origine germanique (Bothari : bod = messager + hari = armée) rencontré dans le même département. Le nom Bouther peut aussi s’écrire Bouthier (24). Variante : Bouterin (70). Autres diminutifs : Boutherand, Boutheron, Boutheyrand (43).

Source : https://www.geneanet.org/nom-de-famille/BOUTHIER

Souvenirs de Maman (février 2009 et août 2010)

Souvenirs de Maman, Marie, Georgette Jabot.

Les parents de ma grand-mère Persillon ne voulaient pas de mon grand-père. Ma grand-mère a attendu mon grand-père, elle s’est mariée à 35 ans.

Dans la famille d’Hermance, ils étaient tous couturiers.
Tante Fernande était la dernière.
Fernand était marié avec la tante Adèle.
L’oncle Armand Persillon était tailleur et couturier.

Mon grand-père a beaucoup travaillé pour Les Dubosc, puis finalement s’est fait mettre à la porte du Point du Jour (la maison située route du Sen). Ils ont habité au petit Versailles. Puis à Loustalot, puis aux Arebouilles.

Les gens travaillaient toute une journée pour un bol de soupe. (Pleurs…)

En haut de la côte, à Labrit, c’était chez les Persillon, les hôteliers.

À Bordeaux, rue Gautier-Lagardère, on habitait une échoppe double. On a reçu la première bombe allemande… chez les voisins !

15 août 2010

Le grand-père paternel de Georgette avait déjà été marié et il avait 2 enfants : Joseph et Julia.
Maman a habité au 24 rue Basfroi à Paris.
Son père, Edmond Jabot, a terminé sa carrière à la Sureté Nationale.

Jean Nové était le mari de tante Augustine. Ils habitaient rue des Francbourgeois. Georges, mort à la guerre de 14-18, était le premier mari de tante Augustine.

Edmond avait 2 demi-frères
Joseph, marié à Henriette, habitait à Ménimontant.

Étymologie du nom de famille BOUTHIER / BOUTIER

Étymologie du nom de famille BOUTIER

Origine : Boutier est un nom de famille issu du nom de personne d’origine germanique «bothari», composé de «bot» qui signifie «messager» et «hari», «armée», ancien surnom de guerrier. Dans le midi, ce nom désigne aussi «tonnelier», surnom de métier.

Trouvé ici : https://www.genealogie.com/nom-de-famille/BOUTIER.html

La preuve de Fermat enfin révélée par… Fermat en personne!

Une nouvelle traduction, vraisemblablement inconnue du public, de la Note en Latin de Fermat publiée dans l’ARITHMETICA (édition de 1670, page 61) a été dûment expertisée par un Professeur, Docteur spécialisé en latin médiéval. Elle suggère une démonstration très élémentaire (en 3 lignes de calcul!) du Grand Théorême de Fermat.

Cette étude détaillée faite par Monsieur Roland Franquart se trouve sur son site https://franquart.fr.

Vous y découvrirez  l’explication détaillée du cryptage de nature strictement typographique choisi par Fermat.

Par ailleurs, vous découvrirez aussi le décryptage de nature alphabétique qui tient compte du double-sens du mot latin « detexi », lequel se disait des matériaux construits comme les fils d’un tissu.

C’est pourquoi Monsieur Roland Franquart aimerait avoir une expertise n’utilisant que les « outils » mathématiques du XVIIème siècle, évidemment.

Voir l’image ci-dessous, à : « OBSERVATIO DOMINI PETRI DE FERMAT’.

page 61 de l'ARITHMETICA, édition 1670
page 61 de l'ARITHMETICA, édition 1670