- Né le 25 juin 1888 – (Saint Sulpice) Lalinde
- Décédé le 5 octobre 1915 – La ferme des Wacques (Marne)
Mort pour la France , à l’âge de 27 ans
Catégorie : Famille
Souvenirs de Maman (février 2009 et août 2010)
Souvenirs de Maman, Marie, Georgette Jabot.
Les parents de ma grand-mère Persillon ne voulaient pas de mon grand-père. Ma grand-mère a attendu mon grand-père, elle s’est mariée à 35 ans.
Dans la famille d’Hermance, ils étaient tous couturiers.
Tante Fernande était la dernière.
Fernand était marié avec la tante Adèle.
L’oncle Armand Persillon était tailleur et couturier.
Mon grand-père a beaucoup travaillé pour Les Dubosc, puis finalement s’est fait mettre à la porte du Point du Jour (la maison située route du Sen). Ils ont habité au petit Versailles. Puis à Loustalot, puis aux Arebouilles.
Les gens travaillaient toute une journée pour un bol de soupe. (Pleurs…)
En haut de la côte, à Labrit, c’était chez les Persillon, les hôteliers.
À Bordeaux, rue Gautier-Lagardère, on habitait une échoppe double. On a reçu la première bombe allemande… chez les voisins !
15 août 2010
Le grand-père paternel de Georgette avait déjà été marié et il avait 2 enfants : Joseph et Julia.
Maman a habité au 24 rue Basfroi à Paris.
Son père, Edmond Jabot, a terminé sa carrière à la Sureté Nationale.
Jean Nové était le mari de tante Augustine. Ils habitaient rue des Francbourgeois. Georges, mort à la guerre de 14-18, était le premier mari de tante Augustine.
Edmond avait 2 demi-frères
Joseph, marié à Henriette, habitait à Ménimontant.
Résultats du Concours de la Harpe de Limoges en 2016
Les résultats se trouvent sur ce site :
https://sites.google.com/site/concoursfrancaisdelaharpe/Les-Archives/resultats-2016
On peut y trouver le résultat d’A…
Léopold Jabot (dit Georges), mort pendant la guerre de 1914-1918
J’ai retrouvé la trace de mon grand-oncle, Léopold Jabot, mort pendant la guerre de 1914-1918.
https://gw.geneanet.org/moumou24?lang=fr&iz=270&p=leopold&n=jabot&oc=1
Christian Bouthier à l’école maternelle de Thiais en 1957
Étymologie du nom de famille BOUTHIER / BOUTIER
Étymologie du nom de famille BOUTIER
Origine : Boutier est un nom de famille issu du nom de personne d’origine germanique «bothari», composé de «bot» qui signifie «messager» et «hari», «armée», ancien surnom de guerrier. Dans le midi, ce nom désigne aussi «tonnelier», surnom de métier.
Trouvé ici : https://www.genealogie.com/nom-de-famille/BOUTIER.html
Les prénoms de mes petits-enfants en japonais, français et leur sens
Publié le 13 juillet 2015
Cet article a été déplacé ici : https://www.france-japon.net/blog2/2021/11/mes-petits-enfants-franco-japonais/
Sculptures de Vincent Vergone
Voir le site : https://www.vincent-sculptures-bronze.com/
La preuve de Fermat enfin révélée par… Fermat en personne!
Une nouvelle traduction, vraisemblablement inconnue du public, de la Note en Latin de Fermat publiée dans l’ARITHMETICA (édition de 1670, page 61) a été dûment expertisée par un Professeur, Docteur spécialisé en latin médiéval. Elle suggère une démonstration très élémentaire (en 3 lignes de calcul!) du Grand Théorême de Fermat.
Cette étude détaillée faite par Monsieur Roland Franquart se trouve sur son site https://franquart.fr.
Vous y découvrirez l’explication détaillée du cryptage de nature strictement typographique choisi par Fermat.
Par ailleurs, vous découvrirez aussi le décryptage de nature alphabétique qui tient compte du double-sens du mot latin « detexi », lequel se disait des matériaux construits comme les fils d’un tissu.
C’est pourquoi Monsieur Roland Franquart aimerait avoir une expertise n’utilisant que les « outils » mathématiques du XVIIème siècle, évidemment.
Voir l’image ci-dessous, à : « OBSERVATIO DOMINI PETRI DE FERMAT’.
Vincent Vergone, un artiste original qui fait son petit cirque
Sculpteur, réalisateur de courts-métrages, créateur de spectacles d’images, Vincent Vergone est un artiste aux moyens d’expression multiples. L’unité de son Å“uvre se révèle dans l’intérêt qu’il porte de manière générale à l’image, qu’elle soit plane ou en volume, fixe ou animée dans un mouvement, prête à s’envoler d’un coup de vent, et à s’évanouir fugitivement hors-cadre. Ainsi, ses gravures nous apparaissent dans l’entre-deux de l’image fixe et de l’image en mouvement.
Il se produit à Paris et en province, parfois aussi à l’étranger.
Un article lui est consacré, ainsi qu’à ses spectacles et créations diverses sur le site japonais https://www.nikkanberita.com/ (lien direct vers l’article)